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21/09/2013 14:43
Poucette était triste. Elle n’eut pas la permission de sortir au chaud soleil : le blé, qui était semé sur le champ au-dessus de la maison de la souris, poussa d’ailleurs haut en l’air, c’était une forêt drue pour la pauvre petite fille qui n’avait qu’un pouce.– Cet été tu vas coudre ton costume, lui dit la souris, car sa voisine, l’ennuyeuse taupe à la pelisse de velours noir, l’avait demandé en mariage. Tu n’auras de la laine et du linge. Tu auras de quoi t’asseoir et te coucher, quand tu seras la femme de la taupe !Poucette dut filer à la quenouille, et la souris embaucha quatre araignées pour filer et tisser nuit et jour. Tous les soirs la taupe venait en visite, et parlait toujours de la fin de l’été, quand le soleil serait beaucoup moins chaud, car pour le moment il brûlait la terre, qui était comme une pierre ; quand l’été serait fini auraient lieu les noces avec Poucette ; mais la petite n’était pas contente, car elle n’aimait pas du tout l’ennuyeuse taupe. Tous les matins, quand le soleil se levait, et tous les soirs quand il se couchait, elle se glissait dehors à la porte, et si le vent écartait les sommets des tiges, de façon qu’elle pouvait voir le ciel bleu, elle se disait que c’était clair et beau, là dehors, et elle désirait bien vivement revoir sa chère hirondelle ; mais elle ne reviendrait jamais, elle volait sûrement très loin dans la forêt verte. moncler boutique france
Lorsque l’automne arriva, Poucette eut sa corbeille toute prête.– Dans quatre semaines ce sera la noce, lui dit la souris.Et Poucette pleura et dit qu’elle ne voulait pas de l’ennuyeuse taupe.– Tatata, dit la souris, ne regimbe pas, sans quoi je te mords avec ma dent blanche ! C’est un excellent mari que tu auras, la reine elle-même n’a pas une pelisse de velours noir pareille. Il a cuisine et cave. Remercie Dieu de l’avoir.La noce devait donc avoir lieu. doudoune moncler pas cher La taupe était venue déjà pour prendre Poucette, qui devait habiter avec son mari au profond de la terre, ne jamais sortir au chaud soleil qu’il ne pouvait pas supporter. La pauvre enfant était tout affligée, elle voulait dire adieu au beau soleil, que du moins, chez la souris, il lui avait été permis de regarder de la porte.– Adieu, lumineux soleil ! dit-elle, les bras tendus en l’air, et elle fit quelques pas hors de la demeure de la souris, car le blé avait été coupé, il ne restait plus que le chaume sec. Adieu, adieu ! dit-elle, et elle entoura de ses bras une petite fleur rouge qui était là ! Salue de ma part la petite hirondelle, si tu la vois.– Qvivit ! qvivit ! dit-on à ce moment au-dessus de sa tête.Elle regarda en l’air, c’était la petite hirondelle, qui passait justement. Aussitôt qu’elle vit Poucette, elle fut ravie ; la fillette lui raconta qu’elle ne voulait pas du tout avoir pour mari la vilaine taupe, et qu’elle habiterait ainsi au fond de la terre, où le soleil ne brillerait jamais. doudoune-moncler-en-cuir
De cela, elle ne pouvait s’empêcher de pleurer.– Voilà le froid hiver qui vient, dit la petite hirondelle, je m’envole au loin vers les pays chauds, veux-tu venir avec moi ? Tu peux te mettre sur mon dos, tu n’as qu’à t’attacher fortement avec ta ceinture, et nous nous envolerons loin de la vilaine taupe et de sa sombre demeure, bien loin par-dessus les montagnes jusqu’aux pays chauds où le soleil luit, plus beau qu’ici, où c’est toujours l’été avec des fleurs exquises. Viens voler avec moi, chère petite Poucette qui m’a sauvé la vie lorsque je gisais gelée dans le sombre caveau de terre !– Oui j’irais avec toi, dit Poucette, qui se mit sur le dos de l’oiseau, les pieds sur ses ailes étendues, et attacha fortement sa ceinture à une des plus grosses plumes.Et ainsi l’hirondelle s’éleva haut dans l’air, au-dessus de la forêt et au-dessus de la mer, haut au-dessus des grandes montagnes toujours couvertes de neige, et Poucette eut froid dans l’air glacé, mais elle se recroquevilla sous les plumes chaudes de l’oiseau, et passa seulement sa petite tête pour voir toute la splendeur étalée sous elle.Et elles arrivèrent aux pays chauds. Le soleil y brillait, beaucoup plus lumineux qu’ici. Le ciel était deux fois plus élevé, et dans des fossés et sur des haies poussaient de délicieux raisins blancs et bleus.