sur tous les traits. fausse carrera pas cher
02/09/2013 09:39
– Je vous avertis, poursuivit Mme Irnois, qu’elle est prévenue en votre faveur, et cela je ne sais comment, car elle ne sort jamais, et je ne sache pas qu’elle vous ait jamais vu.– C’est un effet de la sympathie, s’écria Cabarot en riant ; mais encore, ne pourrai-je la voir ? Nous causerons de tout cela fort à loisir ! Je brûle de lui être présenté.– Catherine, dit Mme Irnois, va je te prie dire à Jeanne de l’apporter.Ce mot : l’apporter, donna un frisson au comte Cabarot. Il pensa qu’on venait de lui parler de difformité. Il se figura les choses au pire. De quelque philosophie qu’il fût doué, il eut un moment d’hésitation. lunettes pas cher
Il fut sur le point de se poser lui-même son mariage comme une question et d’admettre des causes de rupture ; heureusement, cette crise ne dura pas. Il se rappela sur-le-champ qu’une auguste volonté avait été compromise par lui dans cette affaire, et que reculer, c’était, en quelque façon, faire mépris des bienfaits du maître ; que d’ailleurs il épousait fort peu la fille et beaucoup la dot ; qu’avec une fortune comme celle dont il aurait la jouissance, il aurait la pleine liberté de loger sa femme aussi loin de lui qu’il voudrait, et même de la reléguer à la campagne, si le séjour dans un même hôtel venait à lui déplaire.Le comte Cabarot avait à peu près terminé les réflexions que l’on vient de voir plus haut quand la porte s’ouvrit, et la tante Catherine reparut.– Voici Emmelina, dit-elle, en reprenant sa chaise et son tricot.En effet, derrière elle entra Jeanne, portant la jeune fille dans ses bras. Ce fut une scène singulière.Au moment où l’on vit la vieille domestique et son vivant fardeau, la pauvre malade parut rouge comme une cerise, les yeux pleins d’une ivresse angélique, belle, très belle, tant elle avait d’émotion et d’amour répandus sur tous les traits. fausse carrera pas cher Mme Irnois avait bien fait de prévenir le comte, car le premier mot d’Emmelina fut de s’écrier :– Où est-il ? Où est-il ?Et elle étendait ses deux bras, et elle se penchait en avant avec une passion indicible.« Vrai Dieu ! se dit le comte Cabarot, elle est horrible cette malheureuse éclopée, et furieusement vive ! »Et comme il avait bien réfléchi, ainsi qu’on l’a vu, et qu’il s’était cuirassé contre les dégoûts probables de l’aventure, il se précipita bravement au-devant de sa fiancée et voulut lui prendre les mains pour les baiser avec autant de feu qu’il en était capable.Mais Emmelina ne le regarda seulement pas, et, retirant ses mains comme on fait à un importun, s’écria :– Où est-il donc ?– Mais devant toi, dit sa mère, voilà M. Cabarot avec qui tu veux t’en aller.Emmelina se jeta en arrière dans les bras de Jeanne, en poussant un cri d’horreur et d’effroi.– Je ne le connais pas, dit-elle en pleurant. Ce n’est pas lui, Jeanne, ce n’est pas lui !Elle se mit à sangloter. carrera lunettes pas cher
Son père la prit dans ses bras, elle le repoussa. « Laissez-moi », dit-elle.On la plaça dans son fauteuil, et elle continua à pleurer sans vouloir lever la tête ni regarder son fiancé, qui maintenait toujours avec soin sur ses lèvres son sourire courtois et soumis.Au fond du cœur, le comte Cabarot était impatienté outre mesure.« Quoi ! pensait-il, ce n’est pas assez d’avoir une femme bâtie comme celle que voilà, il faut qu’outre toutes ses difformités je lui découvre encore une affection pour quelque fat ! J’aurai bien à faire avec cette petite personne si je veux lui redresser l’entendement ! Mais patience ! j’en viendrai à bout. »Le salon de Mme Irnois était cependant une vraie tour de Babel ; on ne savait plus qu’y devenir. Après quelques sanglots, après s’être tordu les mains, Emmelina, le visage noyé de larmes abondantes, était devenue pâle, pâle comme la mort, ses yeux s’étaient subitement ternis, elle était tombée à la renverse dans le fauteuil et s’était évanouie.
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